Peintre coloriste lyrique et gestuelle

“De l’hymne à la vie”

  

 1950 : Le 23 décembre, naissance de Claude LAVAL à Brive en Corrèze. Dès son enfance et durant sa jeunesse elle manifeste un don certain pour le dessin et la peinture de paysages très colorés déjà et, particulièrement aussi, pour l’art de l’enluminure. Elle se signale plus tard au public par cette facette de son talent, mentionnée avec éloge dans la presse. Elle s’affirme conjointement par la réalisation de merveilleux paysages traités de façon académique, bien qu’étant elle-même parfaitement autodidacte. En âge scolaire, tous ses professeurs de dessin purent apprécier son talent de dessinatrice et de peintre qui lui valurent toujours la place d’honneur dans cette matière.

1987 : Une très grave maladie la terrasse, la laissant exsangue, la peinture reste seule son oeuvre de chevet et une forte raison de vivre. Le “choc physiologique”  passé, la résurrection de l’âme entraîne la résurrection du corps et c’est le renouvellement total de l’expression picturale, l’éclatement, l’éblouissement de la couleur sur la toile. Ce rejaillissement de la vie, le public ne s’y trompe pas et c’est la reconnaissance immédiate de celui-ci. les premiers pas de Claude LAVAL dans sa nouvelle peinture sont déjà un succès, puis viendra le travail personnel acharné affirmant la manière jusqu’à la maîtrise totale de son savoir-faire largement reconnu. Une nouvelle peinture est née venue “des frontières de la vie et de la mort” selon Michel PEYRAMAURE. Le public l’appelle fortement à venir au-devant de lui.

1991 : Première exposition à Saint Libéral à Brive sous le parrainage de Roger LAPLENIE, professeur de dessin et peintre régional renommé qui s’adressant à Claude LAVAL dit : “Tu sais cueillir les couleurs pour en faire une symphonie que tu seras seule à entendre au milieu de ce grand brouhaha assourdissant des hommes”, et ajoute déjà “Nous ne sommes pas loin de la peinture musicale”. Les premières expositions personnelles s’enchaînent, dans le département d’abord : Saint-Sornin Lavolps, Uzerche, puis en dehors Aubusson, etc...

1992 : C’est l’éloignement à Enghein-les-Bains, Aix-en-Provence, Avignon où déjà elle est distinguée par des grands prix - Plaquettes d’Or

1993 : Château de Sédières, du Conseil général de la Corrèze, Le Grand Palais, Le Bourget - nouvelle distinction

1994 : Paris avec la médaille “Art Sciences Lettres” Académie Européenne des Arts France. Elle s’expatrie à New-York et Montréal. Retour à Paris au Palais du Luxembourg.

1995 : A la conquête de la Chine, Shangaï d’où elle revient avec la plaquette d’OR du Salon International.

1996 : Les expositions se poursuivent dans le département, Neuvic, Pompadour, Egletons, Malemort, Brive, et d’autres régions Dordogne Sarlat, Aude Carcassonne où le Musée acquiert une de ses toiles.

Et la même année le Ministre de la Culture Philippe DOUSTE-BLAZY la nomme Chevalier dans ‘Ordre des Arts et des Lettres, l’honorant pour ses créations dans le domaine artistique afin de participer au rayonnement des Arts en France et dans le Monde.

1997 : Sarlat

1998 : Carcassonne, Egletons

1999 : Paris, Malemort

2001 : Exposition en Allemagne à Lauf.

2002 : Haute-Vienne, Limoges  Pavillon du Verdurier. 2003 : La galerie Saint-Martin de Brive lui fait retrouver à nouveau son public local

2004 : Narbonne, Bugeat

2005 : Musée de Tulle

2006 : Seilhac  et Argeles sur Mer
2008 : Collonges-La-Rouge

2009 : Saint André

2010 : Chamberet

2011 : Sorède

2014 : Saint-Genis des Fontaines

2015 : Brive, chapelle Saint-Libéral

 

Peint pour son plaisir dans ses ateliers de son château de Prédevaulx et d' Argelès sur mer

Son parcours se poursuit inexorablement,

“Je dois à ma peinture d’exister” confesse-t-elle simplement